Je parle de ma Barbe (1/2)

Insta: The Big Fashion Guy

Ce post je le fais sans fil conducteur, j’écris comme ça vient donc désolé d’avance pour les incohérences et la non objectivité de certains propos.

Hier, dans un de mes moments de réflexion vagabonde, je posais la question à une jardinière comme quoi, pourquoi il n’y avait pas de « World Beard Day » (Journée Mondiale de la barbe) au même titre que le « World Hijab Day ». Réflexion un peu tirée par les cheveux je l’avoue, mais qui illustre quelque chose d’assez factuel ; on ne parle pas assez du port de la barbe et pourtant…

Je ne suis pas en train de faire une comparaison grotesque ou encore je ne fais pas mon « masculiniste » (opposé de féministe, vous l’aurez compris) mais se laisser pousser la barbe au 21^e siècle ci, ce n’est pas facile, encore plus pour ceux qui n’évoluent pas dans un univers trempé dans l’Islam. Généralement ça commence par les remarques bateaux du genre « Tu veux devenir jihadiste mtnt ? », « Faut pas t’exploser un jour ici heun » « Hey l’imam ! » et j’en passe. Au sein même de ta propre famille, à chaque fois que tu croises quelqu’un, c’est à coup de « C’est quoi ça là ?! » avec un air désagréablement surpris. Anyway, e no easy hé. Je précise que je ne parle pas forcément de ceux qui se laissent pousser la barbe pour la religion, car oui, il y’en a qui aiment juste ça. Mais ce qui nous intéresse ici, c’est la raison religieuse. Et comme je ne suis ni un homme de science aguerrie, ni un théologien, j’ai envie de parler de mon expérience personnelle avec ma belle barbe que j’aime de tout mon cœur (Je lui cherche même un nom donc si vous pouvez m’aider). Je compte en parler toute cette semaine Inch’Allah si et seulement si je vois de l’intérêt pour ce premier post sinon on va dire que je suis revenu avec « mes encyclopédies ». En plus, ça ne sert pas à grand-chose de parler d’un sujet qui n’intéresse personne ici.

Bon appétit si vous êtes à table.

Salam Alleykoum Wa Rahmatullah

Malcolm X

Comments

[Angelilie]

toujours un plaisir de flâner sur vos pages. au plaisir de revenir